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La famille est un lieu social de l’institution du sujet et du citoyen. Mais c’est aussi le lieu de la désintégration, de la confusion incestueuse, des violences corporelles et du meurtre. VIFFIL, consciente de l’importance structurale de cette unité sociale veut éviter sa dégradation. Malgré la tourmente destructrice, VIFFIL accueille dans la réalité matérielle, sociale et psychique celles et ceux qui s’y confient. Il ne s’agit pas d’un foyer d’assistance, mais d’un lieu d’élaboration et de renaissance.
VIFFIL, consciente que le symbolique et la loi bafoués ont été au commencement du désastre, accompagne les victimes dans leur recours au droit et à la justice. Il n’y a pas d’aide sans connaissance. Aussi les équipes de VIFFIL sont attachées à étudier la violence, à collecter les savoirs à ce sujet. VIFFIL se veut moteur dans. la recherche et élabore des projets à partir de son expérience humaine. Cette connaissance n’est pas réservée à son seul usage et, dans un but de prévention, VIFFIL est un point de diffusion du savoir à la disposition de quiconque peut le faire fructifier.
Liliane Daligand – Présidente de l’association
La famille est un lieu social de l’institution du sujet et du citoyen. Mais c’est aussi le lieu de la désintégration, de la confusion incestueuse, des violences corporelles et du meurtre. VIFFIL, consciente de l’importance structurale de cette unité sociale veut éviter sa dégradation. Malgré la tourmente destructrice, VIFFIL accueille dans la réalité matérielle, sociale et psychique celles et ceux qui s’y confient. Il ne s’agit pas d’un foyer d’assistance, mais d’un lieu d’élaboration et de renaissance. VIFFIL, consciente que le symbolique et la loi bafoués ont été au commencement du désastre, accompagne les victimes dans leur recours au droit et à la justice. Il n’y a pas d’aide sans connaissance. Aussi les équipes de VIFFIL sont attachées à étudier la violence, à collecter les savoirs à ce sujet. VIFFIL se veut moteur dans. la recherche et élabore des projets à partir de son expérience humaine. Cette connaissance n’est pas réservée à son seul usage et, dans un but de prévention, VIFFIL est un point de diffusion du savoir à la disposition de quiconque peut le faire fructifier.
Liliane Daligand – Présidente de l’association
VIFFIL est une association qui vient en aide aux femmes victimes de violences conjugales. Quelle est l’histoire de cette association ? Comment VIFFIL est-elle devenue ce qu’elle est aujourd’hui ?
L’association VIFF est née en 1979. Un homme en est à l’origine, il s’agit du maire de Villeurbanne. Charles Hernu était, en effet, sensible à la détresse des femmes victimes de violences conjugales. En homme d’action, il a décidé qu’un accueil et un hébergement des victimes de violences conjugales étaient nécessaires. De ce fait, Charles Hernu a été précurseur car l’association VIFF SOS FEMMES a été l’une des premières en France à héberger des femmes avec enfants, des mères victimes de violences, dans un CHRS (Centre d’Hébergement et de Réinsertion Sociale).
L’organisation du CHRS mise en place par Charles Hernu était en hébergement diffus, dans des appartements individuels, et non pas en foyer collectif. Cette organisation a pour avantage de favoriser l’autonomisation des femmes, mais aussi de les aider à s’extraire du joug de la prison des violences au sein du couple.
Depuis 1979, l’association luttant contre les violences conjugales s’engage pour les femmes victimes et leurs enfants. VIFFIL, pour ces femmes :
VIFFIL est une association qui vient en aide aux femmes victimes de violences conjugales. Quelle est l’histoire de cette association ? Comment VIFFIL est-elle devenue ce qu’elle est aujourd’hui ?
L’association VIFF est née en 1979. Un homme en est à l’origine, il s’agit du maire de Villeurbanne. Charles Hernu était, en effet, sensible à la détresse des femmes victimes de violences conjugales. En homme d’action, il a décidé qu’un accueil et un hébergement des victimes de violences conjugales étaient nécessaires. De ce fait, Charles Hernu a été précurseur car l’association VIFF SOS FEMMES a été l’une des premières en France à héberger des femmes avec enfants, des mères victimes de violences, dans un CHRS (Centre d’Hébergement et de Réinsertion Sociale).
L’organisation du CHRS mise en place par Charles Hernu était en hébergement diffus, dans des appartements individuels, et non pas en foyer collectif. Cette organisation a pour avantage de favoriser l’autonomisation des femmes, mais aussi de les aider à s’extraire du joug de la prison des violences au sein du couple.
Depuis 1979, l’association luttant contre les violences conjugales s’engage pour les femmes victimes et leurs enfants. VIFFIL, pour ces femmes :
L’association VIFF est née en 1979. Un homme en est à l’origine, il s’agit du maire de Villeurbanne. Charles Hernu était, en effet, sensible à la détresse des femmes victimes de violences conjugales. En homme d’action, il a décidé qu’un accueil et un hébergement des victimes de violences conjugales étaient nécessaires. De ce fait, Charles Hernu a été précurseur car l’association VIFF SOS FEMMES a été l’une des premières en France à héberger des femmes avec enfants, des mères victimes de violences, dans un CHRS (Centre d’Hébergement et de Réinsertion Sociale).
L’organisation du CHRS mise en place par Charles Hernu était en hébergement diffus, dans des appartements individuels, et non pas en foyer collectif. Cette organisation a pour avantage de favoriser l’autonomisation des femmes, mais aussi de les aider à s’extraire du joug de la prison des violences au sein du couple.
Depuis 1979, l’association luttant contre les violences conjugales s’engage pour les femmes victimes et leurs enfants. VIFFIL, pour ces femmes :
En 2016, VIFF (Villeurbanne Informations Femmes Familles) est devenue VIFFIL, mais pourquoi ? L’association fusionne avec une autre structure, l’association FIL (Femmes Informations Liaisons). FIL avait les mêmes valeurs et objectifs que VIF, d’où la fusion. Deux associations qui viennent en aide aux femmes victimes de violences conjugales ne font désormais plus qu’une : VIFFIL, pour Violences Intrafamiliales Femmes Informations Liberté. Aujourd’hui, une seule équipe est présente pour accompagner les femmes et les enfants.
En 2016, VIFF (Villeurbanne Informations Femmes Familles) est devenue VIFFIL, mais pourquoi ? L’association fusionne avec une autre structure, l’association FIL (Femmes Informations Liaisons). FIL avait les mêmes valeurs et objectifs que VIF, d’où la fusion. Deux associations qui viennent en aide aux femmes victimes de violences conjugales ne font désormais plus qu’une : VIFFIL, pour Violences Intrafamiliales Femmes Informations Liberté. Aujourd’hui, une seule équipe est présente pour accompagner les femmes et les enfants.
L’équipe de l’association VIFFIL, venant en aide aux femmes victimes de violences conjugales, se compose :
L’association “Lyon aide aux victimes” (LAVI) rejoint le service d’aide aux victimes de VIFFIL en 2020.
L’équipe de l’association VIFFIL, venant en aide aux femmes victimes de violences conjugales, se compose :
L’association “Lyon aide aux victimes” (LAVI) rejoint le service d’aide aux victimes de VIFFIL en 2020.
« Cela ne va toujours pas bien avec mon mari, mais je ne suis pas prête à me séparer. Est-ce que je peux quand même continuer à venir vous voir ? »
« On me dit que ma plainte va être orientée en maison de justice et du droit. Qu’est-ce que cela veut dire ? »
« J’ai été agressée dans la rue, depuis je dors mal, j’y pense tout le temps. J’ai besoin d’en parler. »
« Je ne supporte plus d’être battue, humiliée, c’est fini. »
« Je suis allée déposer plainte, on me propose une main courante. Pourquoi ? Qu’est-ce que c’est ? »
« Cela ne va toujours pas bien avec mon mari, mais je ne suis pas prête à me séparer. Est-ce que je peux quand même continuer à venir vous voir ? »
« On me dit que ma plainte va être orientée en maison de justice et du droit. Qu’est-ce que cela veut dire ? »
« J’ai été agressée dans la rue, depuis je dors mal, j’y pense tout le temps. J’ai besoin d’en parler. »
« Je ne supporte plus d’être battue, humiliée, c’est fini. »
« Je suis allée déposer plainte, on me propose une main courante. Pourquoi ? Qu’est-ce que c’est ? »